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[Fic] Reborn! - 8059 - A killer Smile
Disclaimer: Reborn! and its characters belong to Amano Akira, not to me.
Rating: PG-13 because of mafia games. With katanas.
Notes: Written for the prompt "Reborn - Yamamoto - Stepford Smiler" on the TV trope anon meme of
petite_laitue. (The meme is in French, but I first wrote the fic in English.)
When Tsuna tells you that the mafia game was never really a game, you smile and don't answer anything. You already knew, of course - how could a children game involve dynamite and being shot through the head to test your determination?
When the famiglia takes you to Italy (no one says kidnapping, because you all stopped being kids when you started fighting to protect Tsuna) you keep smiling. Someone has to, you think, to distract the others from the huge mansion full of men in black clothes.
When they put the katana in your hands and point at your soon-to-be first victim, you look away to smile at Tsuna. It's not his fault. He never had a choice here.
When the blood gushes from the severed neck and paint your face red, you keep smiling. You have to.
When Tsuna looks at you and sobs, you keep smiling. You have to. You just can't remember remember how not to smile.
When Gokudera punches you, you feel the smile break under his fist. Tears start flowing, and you let him shake you like a ragdoll for scaring the Tenth like that, you idiot, what's so damn cool about smiling like a creep. He goes on for a full minute of shaking and roaring insults until he's out of anger and you're out of apologies, then he drags you in the limo Tsuna's waiting in and kicks you in the shins to make you sit quicker.
A smile settles back on your face, slowly, and it makes Gokudera growl in frustration; but this one comes from the gratitude deep within you, and Tsuna smiles back a tiny, hopeful smile, so Gokudera lets you go.
Disclaimer: Reborn! et ses personnages appartiennent à Amano Akira, pas à moi.
Rating: PG-13 à cause du jeu de la mafia. Celui avec des katanas.
Notes: Ecrit pour le prompt "Reborn - Yamamoto - Stepford Smiler" sur le TV trope anon meme de
petite_laitue. (C'est la version française postée dessus, cette fois.)
Quand Tsuna t'annonce que sa mafia n'a jamais vraiment été un jeu, tu souris sans rien répondre. Tu le savais déjà, bien sûr - comment un simple jeu pourrait-il impliquer de la dynamite et des balles tirées en pleine tête pour tester la détermination du participant ?
Quand la famiglia vous emmène en Italie (personne ne parle de kidnapping, car vous avez tous cessé d'être des enfants en commençant à vous battre pour protéger Tsuna) tu continues à sourire. Tu te dis que quelqu'un doit le faire, pour distraire les autres de cet immense manoir plein d'hommes en noir.
Quand ils placent le katana entre tes mains et pointent du doigt ta future première victime, tu te détournes d'eux pour sourire à Tsuna. Ce n'est pas de sa faute. Il n'a jamais eu le choix dans cette histoire.
Quand le sang jaillit du cou que tu viens de trancher et colore ton visage de rouge, tu continues à sourire. Il faut que tu continues.
Quand Tsuna te regarde et sanglote, tu continues à sourire. Il faut que tu continues. Tu ne te parviens pas à te rappeler comment ne pas sourire.
Quand Gokudera t'envoie son poing dans la figure, tu sens le sourire se briser sous ses phalanges. Les larmes roulent sur tes joues, et tu le laisses te secouer comme un prunier pour avoir effrayé le Dixième du Nom comme ça, espèce de crétin, qu'est-ce qu'il peut bien y avoir de cool à sourire comme un détraqué. Il continue pendant une minute entière à te secouer et à vociférer des insultes, jusqu'à ce qu'il soit à court de colère et toi à court d'excuses. Puis il te traîne vers la limousine où Tsuna vous attend, et te donne un coup de pied pour que tu t'assoies plus vite.
Un sourire revient lentement à tes lèvres, ce qui arrache à Gokudera un grognement de frustration ; mais ce sourire là vient de la gratitude qui t'emplit, et Tsuna te renvoie un petit sourire timide, alors Gokudera ferme les yeux.
Rating: PG-13 because of mafia games. With katanas.
Notes: Written for the prompt "Reborn - Yamamoto - Stepford Smiler" on the TV trope anon meme of
![[info]](../../img/userinfo.gif?v=3)
When Tsuna tells you that the mafia game was never really a game, you smile and don't answer anything. You already knew, of course - how could a children game involve dynamite and being shot through the head to test your determination?
When the famiglia takes you to Italy (no one says kidnapping, because you all stopped being kids when you started fighting to protect Tsuna) you keep smiling. Someone has to, you think, to distract the others from the huge mansion full of men in black clothes.
When they put the katana in your hands and point at your soon-to-be first victim, you look away to smile at Tsuna. It's not his fault. He never had a choice here.
When the blood gushes from the severed neck and paint your face red, you keep smiling. You have to.
When Tsuna looks at you and sobs, you keep smiling. You have to. You just can't remember remember how not to smile.
When Gokudera punches you, you feel the smile break under his fist. Tears start flowing, and you let him shake you like a ragdoll for scaring the Tenth like that, you idiot, what's so damn cool about smiling like a creep. He goes on for a full minute of shaking and roaring insults until he's out of anger and you're out of apologies, then he drags you in the limo Tsuna's waiting in and kicks you in the shins to make you sit quicker.
A smile settles back on your face, slowly, and it makes Gokudera growl in frustration; but this one comes from the gratitude deep within you, and Tsuna smiles back a tiny, hopeful smile, so Gokudera lets you go.
Disclaimer: Reborn! et ses personnages appartiennent à Amano Akira, pas à moi.
Rating: PG-13 à cause du jeu de la mafia. Celui avec des katanas.
Notes: Ecrit pour le prompt "Reborn - Yamamoto - Stepford Smiler" sur le TV trope anon meme de
![[info]](../../img/userinfo.gif?v=3)
Quand Tsuna t'annonce que sa mafia n'a jamais vraiment été un jeu, tu souris sans rien répondre. Tu le savais déjà, bien sûr - comment un simple jeu pourrait-il impliquer de la dynamite et des balles tirées en pleine tête pour tester la détermination du participant ?
Quand la famiglia vous emmène en Italie (personne ne parle de kidnapping, car vous avez tous cessé d'être des enfants en commençant à vous battre pour protéger Tsuna) tu continues à sourire. Tu te dis que quelqu'un doit le faire, pour distraire les autres de cet immense manoir plein d'hommes en noir.
Quand ils placent le katana entre tes mains et pointent du doigt ta future première victime, tu te détournes d'eux pour sourire à Tsuna. Ce n'est pas de sa faute. Il n'a jamais eu le choix dans cette histoire.
Quand le sang jaillit du cou que tu viens de trancher et colore ton visage de rouge, tu continues à sourire. Il faut que tu continues.
Quand Tsuna te regarde et sanglote, tu continues à sourire. Il faut que tu continues. Tu ne te parviens pas à te rappeler comment ne pas sourire.
Quand Gokudera t'envoie son poing dans la figure, tu sens le sourire se briser sous ses phalanges. Les larmes roulent sur tes joues, et tu le laisses te secouer comme un prunier pour avoir effrayé le Dixième du Nom comme ça, espèce de crétin, qu'est-ce qu'il peut bien y avoir de cool à sourire comme un détraqué. Il continue pendant une minute entière à te secouer et à vociférer des insultes, jusqu'à ce qu'il soit à court de colère et toi à court d'excuses. Puis il te traîne vers la limousine où Tsuna vous attend, et te donne un coup de pied pour que tu t'assoies plus vite.
Un sourire revient lentement à tes lèvres, ce qui arrache à Gokudera un grognement de frustration ; mais ce sourire là vient de la gratitude qui t'emplit, et Tsuna te renvoie un petit sourire timide, alors Gokudera ferme les yeux.